Chers élèves, chers
lecteurs,
Ce sujet, lié au thème
du travail au concours commun d'entrée en IEP, est particulièrement
d'actualité, trop peut-être ? (cf= la « tarte à la
crème » des 343 salopards)
En tous cas, profitez-en
pour « récolter » de nombreuses infos afin d'enrichir
votre préparation. Ainsi, nous vous conseillons vivement de lire (ou
écouter) à la revue de presse internationale sur France culture de
mardi dernier (le 26/11/2013) particulièrement riche sur ce sujet. En effet, à partir du cas allemand, Thomas Cluzel soulève une multitude de remarques franchement pertinentes:
Prostitution en Allemagne : Oui à l'abolition de l'esclavage moderne.
Par Thomas CLUZEL
Nulle part ailleurs en Europe la législation sur la
prostitution n’y est aussi libérale. Mais peut-être plus pour
très longtemps donc, car dans le cadre des négociations en vue de
former le prochain gouvernement, la CDU et le SPD entendent à
présent surveiller plus strictement la pratique du sexe tarifé. Une
manière de remédier aux excès liés à la loi. Car c'est vrai que
le bilan de la loi libérale est aujourd'hui contesté. En clair,
précise LE TEMPS de Genève, lorsqu'en 2001, Schröder, les
sociaux-démocrates et les Verts entreprennent de légaliser la
prostitution, le pas est alors censé permettre aux «travailleuses
du sexe», non seulement de poursuivre en justice un client mauvais
payeur ou un employeur malveillant, mais surtout de cotiser aux
caisses retraite et maladie comme n’importe quel salarié. Or douze
ans plus tard, seuls 44 prostitués sont aujourd’hui officiellement
enregistrés comme «travailleurs du sexe» auprès des organismes
sociaux, alors même que le chiffre d’affaires de la «branche»
est estimé à 14,6 milliards d’euros par an.
Suite et source :
http://www.franceculture.fr/emission-revue-de-presse-internationale-prostitution-en-allemagne-oui-a-l-abolition-de-l-esclavage-m
A suivre
A. Cuvelier,
http://saintremi.com/